Burkina Faso : Certains hommes politiques veulent régler leurs comptes avec la Transition, avec l’appui de la CEDEAO
Apparemment, les hommes politiques égoïstes qui n’œuvrent que pour leurs intérêts personnels, avaient mis leur total espoir dans le récent plan de déstabilisation du pouvoir d’Ibrahim TRAORE déjoué. Après l’échec de ce projet macabre, les avides du pouvoir se sont alliés à la CEDEAO.
Ils sont surtout terrifiés à l’idée de voir la transition prendre plus de temps que prévu, et veulent agir au plus vite, en sollicitant l’aide de leurs complices chefs d’Etats de la CEDEAO, Organisation qui se préoccupe que des intérêts des chefs d’Etats et des politiciens, mettant de côté le peuple.
Selon les informations, l’intervention de cette organisation des chefs d’Etats malhonnêtes et corrompus, consistera à sanctionner durement le Burkina Faso. Des sanctions incomparables à celle infligées au pays voisin, le Niger.
Le plan est d’agir au terme de la transition, si les élections ne sont pas organisées comme prévu. Ces sanctions occasionneront la révolte du peuple burkinabè et par ricochet, la chute du Capitaine Ibrahim TRAORE et son équipe.
Les sorties intempestives de ces hommes politiques burkinabè ces derniers temps, avec des critiques contre les autorités de la transition, confirment bien ces informations. Et ce n’est pas tout, les informations de sources sûres, révèlent qu’un autre plan de déstabilisation est en gestation, pour le mois de décembre 2023.
Ils veulent tenter le coup pour une énième fois. Ce sont des informations que le pouvoir militaire et le peuple burkinabè doivent prendre au sérieux et rester sur leur garde, en prenant des mesures nécessaires.
Mohamed Coulibaly