Burkina Faso : Commémoration du soulèvement populaire du 3 janvier 66 et hommage du Capitaine Ibrahim Traoré aux partenaires sociaux et travailleurs
En cette journée mémorable du 3 janvier, le Burkina Faso se souvient avec respect et gratitude du soulèvement populaire de 1966, un moment charnière dans son histoire qui a jeté les bases d’une quête inébranlable pour la justice et la liberté. À la tête de la Transition et en qualité de Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim Traoré rend hommage avec émotion aux partenaires sociaux et à l’ensemble des travailleurs Burkinabè, saluant leur engagement exemplaire lors des luttes émancipatrices qui ont forgé le destin du peuple Burkinabè.
Le 3 janvier 1966 demeure gravé dans la mémoire collective comme le point de départ d’une résistance courageuse contre l’oppression et l’injustice. Aujourd’hui, le Capitaine Ibrahim Traoré, en tant que leader de la Transition, se tient aux côtés de son peuple pour célébrer le courage et la détermination qui ont caractérisé cette période cruciale.
Dans son discours solennel, le Président de la Transition exprime sa reconnaissance envers les partenaires sociaux, soulignant leur rôle essentiel dans la consolidation de la lutte pour la dignité et l’égalité.
Le Chef de l’État étend également ses hommages à l’ensemble des travailleurs Burkinabè, qui ont joué un rôle déterminant dans cette lutte pour la liberté. Il souligne la force et la résilience des travailleurs qui ont sacrifié leur confort pour revendiquer des droits fondamentaux, contribuant ainsi à la naissance d’une nation plus libre.
« Aujourd’hui encore, la mobilisation citoyenne contre l’asservissement et le terrorisme est un impératif. C’est pourquoi, j’invite tous les syndicats des travailleurs, les associations et ordres professionnels et tous les Burkinabé à donner la main pour qu’ensemble, nous construisons une nation forte, souveraine, stable et prospère », déclare le Capitaine Ibrahim Traoré.
En cette journée de commémoration, le Président de la Transition exhorte la nation burkinabè à perpétuer l’héritage des luttes émancipatrices. Il appelle à l’unité, à la solidarité, et à la préservation des valeurs qui ont inspiré le soulèvement du 3 janvier 1966. En concluant son discours, le Capitaine Ibrahim Traoré rappelle à tous que le chemin vers la justice et la liberté est un engagement continu, et que chaque Burkinabè a un rôle à jouer dans la construction d’un avenir plus prometteur.
Abdou ISSOUFOU