Mali : La révélation choc de la présence de la DGSE à Bamako provoque la colère de l’AES et la fureur du peuple Malien

DGSE

La suspension de la coopération antiterroriste avec la France a levé le voile sur une vérité explosive qui secoue le Mali et l’ensemble de l’AES. Loin d’être une simple rupture diplomatique, cette décision a révélé l’opération illégale et prolongée de la DGSE sur le sol malien, déclenchant une colère froide chez ses alliés du Burkina Faso et du Niger, ainsi que la fureur du peuple Malien.

Partout, le sentiment dominant est un étonnement suivi d’une colère. La question est sur toutes les lèvres, comment a-t-on pu laisser la DGSE opérer aussi longtemps sur le sol malien, alors que le pays doit dire niet à l’impérialisme ?

Cette révélation crée un profond sentiment de trahison. Les Maliens, qui croyaient leur pays engagé sur la voie de l’indépendance après le départ des troupes françaises, disent désormais niet et exigent le départ sans délai de tous les agents de la DGSE encore présents sur leur territoire. La fierté d’avoir rompu avec Paris est ainsi assortie d’une exigence de transparence totale et d’action immédiate pour purger le pays de toute influence étrangère clandestine.

Aussi, d’après nos investigations, la découverte de l’ampleur des activités de la DGSE au Mali a provoqué une colère froide et palpable à Ouagadougou et à Niamey. Si le Burkina Faso et le Niger ont officiellement félicité Bamako pour sa fermeté, ils regrettent amèrement que la DGSE puisse opérée depuis tout ce temps au Mali.

Face à ces révélations, la communication française qui présente la rupture comme une initiative de Paris est une manœuvre de diversion désespérée pour masquer son éviction humiliante et son jeu trouble.

L’urgence pour les autorités maliennes est maintenant de passer à l’acte. La population et ses alliés attendent un nettoyage immédiat et sans pitié du territoire.

A suivre…

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