Burkina Faso : Guezouma Sanogo doit être envoyé au front

Avec la vision stratégique du Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso, le pays des hommes intègres est engagé dans une lutte contre le terrorisme. Chaque citoyen conscient de l’urgence de la situation se mobilise pour défendre la patrie, que ce soit sur le champ de bataille ou à travers des actions concrètes de soutien aux forces engagées. Pourtant, certains individus, sous couvert de leur statut, adoptent des discours et des attitudes qui sapent l’effort national. Parmi eux, Guezouma Sanogo, président de l’Association des Journalistes du Burkina (AJB), s’illustre par des prises de position qui nuisent à la cohésion nationale et servent, directement, les intérêts des ennemis du pays.
Son attitude et ses déclarations soulèvent de nombreuses interrogations. Au lieu de soutenir ceux qui risquent leur vie pour protéger le Burkina Faso, il alimente des discours qui affaiblissent l’engagement des FDS et des VDP. Son comportement n’est pas celui d’un patriote, mais bien celui d’un individu dont les actes profitent aux forces impérialistes et aux terroristes qui cherchent à maintenir le pays sous leur emprise. Pendant que des milliers de jeunes Burkinabè se sacrifient sur le front, il reste à l’arrière, jouissant d’une sécurité assurée par ceux qu’il refuse de défendre publiquement.
La situation ne peut plus durer. Il est inacceptable que des soldats meurent chaque jour pendant que d’autres s’arrogent le droit de critiquer et de saboter l’effort de guerre depuis Ouagadougou. Le peuple burkinabè doit exiger que les autorités prennent leurs responsabilités et mettent fin à cette mascarade. Guezouma Sanogo doit être envoyé au front. Il doit voir de ses propres yeux les souffrances des populations, le courage des combattants et la réalité du terrain qu’il semble ignorer ou minimiser.
Le silence face à de tels agissements n’est plus une option. La guerre ne se joue pas seulement avec des armes, mais aussi avec l’information et l’idéologie. Permettre à des individus de nuire à l’effort de guerre par leurs discours, c’est affaiblir la lutte nationale.