URGENT : ENQUÊTE EXCLUSIVE SUR LE COMPLOT QUI A CONDUIT À L’ARRESTATION D’ALINO FASO

ALINO FASO

Dans cette enquête, il est nécessaire de prendre le temps de lecture pour comprendre comment certaines autorités ivoiriennes ont mis en place un complot pour passer de l’accusé à la victime.

PLUSIEURS RÉUNIONS AVANT L’ARRESTATION D’ALINO FASO

Lors des différentes réunions, il était question de faire arrêter des Burkinabé en laissant croire qu’ils avaient été arrêtés dans le cadre de la déstabilisation de la Côte d’Ivoire.

LE PREMIER ESSAI DE CE COMPLOT A ÉTÉ UN ÉCHEC

Rappelez-vous d’une publication en date du 4 décembre 2024 sur la page officielle du sulfureux journaliste Saïd PENDA, qui titrait : « Sécurité : Échec d’une nouvelle tentative de la junte burkinabè contre la Côte d’Ivoire ». Avec, en toile de fond, des élucubrations selon lesquelles « les services de sécurité ivoiriens ont interpellé cinq Burkinabè qui sont rapidement passés aux aveux : ils avaient été recrutés par le patron des renseignements de leur pays, le tristement célèbre capitaine Oumarou Yabré ».

Cette publication devait permettre à certaines autorités ivoiriennes de procéder à des arrestations de Burkinabé et d’Ivoiriens soutiens du Capitaine Ibrahim TRAORÉ. Malheureusement, cette publication flagrante de Saïd PENDA a été un échec pour les comploteurs.

Suite à cet échec, l’ordre a été donné de mettre dans les filets un « gros gibier » proche du Capitaine Ibrahim TRAORÉ. Du coup, l’histoire des Burkinabé envoyés par le commandant Oumarou YABRÉ est passée aux oubliettes. En réalité, il n’y a jamais eu d’arrestation.

Le cas d’Alino Faso, qui est très connu, permettra aux autorités ivoiriennes de mieux communiquer sur la question. Voilà pourquoi, depuis l’arrestation de ce dernier, c’est par des publications sur les réseaux sociaux que l’opinion apprend que les autorités burkinabé sont citées par ce dernier.

Dans un État de droit, pour respecter les procédures et procéder à une arrestation, il faut que le chef d’accusation porté à l’encontre de la personne soit solide. Après l’arrestation, c’est au procureur de faire l’annonce officielle. Chose qui n’a pas été faite dans le cas d’Alino Faso. Or, rien que le mode de communication utilisé par le gouvernement, après le bruit suscité par cette histoire sur les réseaux sociaux, en annonçant sur un ton sarcastique « qu’en Côte d’Ivoire, les gens ne disparaissent pas mais sont arrêtés », laisse perplexe.

FAUX

Cette stratégie des autorités ivoiriennes a pour seul objectif de se faire passer pour des victimes et de laisser croire que les autorités du Burkina Faso œuvrent pour faire tomber Ouattara. Histoire de camoufler toutes les preuves détenues par les autorités burkinabé dans le cadre de la déstabilisation du Burkina Faso.

ALINO FASO, VICTIME D’UN COMPLOT BIEN PRÉPARÉ

Selon plusieurs informations, les autorités ivoiriennes marchandent des aveux avec Alino Faso. Pour rendre crédible ce qui est faux, Alino Faso doit accepter de témoigner en accusant certaines personnalités burkinabé d’être impliquées dans des complots de déstabilisation de la Côte d’Ivoire. Certains individus arrêtés doivent aussi témoigner dans le même sens en échange de leur liberté.

Dans l’attente des déclarations mensongères qui sont en ce moment dans le laboratoire de la DST ivoirienne, des noms sont cités par des communicants dont la mission est de vulgariser ces accusations. Ensuite suivront les témoignages des personnes arrêtées à travers un communiqué du procureur.

Certains proches du premier responsable des renseignements ivoiriens se disent sceptiques quant à la réussite de cette mission ignoble.

COMMANDANT OUMAROU YABRÉ : SON OMBRE FAIT TREMBLER LE RÉGIME DE OUATTARA

Nos enquêtes nous ont conduits au cabinet du président du CNSE pour mieux comprendre.

Il en ressort que le commandant Oumarou YABRÉ est celui-là même qui a déjoué tous les complots de déstabilisation contre le pouvoir du Capitaine Ibrahim TRAORÉ. Il détient de nombreux dossiers compromettants sur le pouvoir de OUATTARA et est présenté comme l’ennemi juré du patron des renseignements ivoiriens.

En outre, le complot de déstabilisation du pouvoir du Président Ibrahim TRAORÉ avait été confié au patron des renseignements ivoiriens, qui avait comme collaborateur direct pour la réussite de cette mission l’ex-directeur général adjoint des services de renseignements burkinabé, le commandant Ouédraogo SEKOU. Un vaste complot qui a nécessité un investissement de plusieurs milliards et qui a été déjoué par le patron des renseignements burkinabé. À ce jour, l’ex-DGA de l’ANR est en fuite vers la Côte d’Ivoire, où il est protégé par les autorités ivoiriennes. Ce complot, dont la réussite avait été estimée à plus de 95 %, a été déjoué à la dernière minute par le « gardien du temple » du Capitaine Ibrahim TRAORÉ, qui n’est autre que le commandant Oumarou YABRÉ. Cette opération a permis l’arrestation de plusieurs personnalités burkinabé, dont le DG de la gendarmerie nationale, Evrard SOMDA.

Pour l’heure, certaines autorités ivoiriennes impliquées dans la déstabilisation du pouvoir du Capitaine Ibrahim TRAORÉ cherchent à renverser la situation en fabriquant des preuves par des arrestations injustes.

CONCLUSION

Cette enquête révèle la face cachée d’une machination orchestrée par l’entourage du Président Alassane OUATTARA, jouant un rôle néfaste dans le cercle du pouvoir ivoirien.

Plusieurs dossiers nous ont été révélés avec des preuves, qui seront publiés dans une édition spéciale à venir.

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